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Ramiro Valdés évalue le programme de développement intégral à Moa

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Ramiro moa desaarrollo int 2Au cours de sa visite à Moa, le Commandant de la Révolution Ramiro Valdés Menéndez a analysé en détail le Programme de Développement Intégral (PDIM) qui vise à transformer la vie économique, sociale et environnementale de ce territoire de l’Est de Holguín qui fait d’importantes contributions en biens au produit intérieur brut de la province.
 
Valdés Menéndez s’est intéressé à la production alimentaire et à la sémence des espèces forestières qui favorisent le développement de l’industrie du bois dans la zone, ce dernier aspect devrait être inclus dans le PDIM et dans les plans annuels de l’économie.
 
En ce qui concerne la production de denrées alimentaires, il a abordé la possibilité de financer, avec la contribution territoriale, la construction de trois entrepôts pour l’engraissement de poulets qui fournira 164 tonnes de viande par an et d´un abattoir qui permettra l’abattage des poules pondeuses à la fin du cycle et d’autres 160 tonnes dans la même période.
 
Gisela Mendoza Sierra, présidente du gouvernement de Moa, a rendu compte des principaux travaux réalisés au cours de la période dans des secteurs tels que la santé, l’éducation, les communales, les transports, le logement et l’industrie alimentaire, entre autres.
 
Le Vice-Premier ministre a exhorté à remplir le plan de 28 pas encadrés par le plus haut organe gouvernemental dont le but est d´améliorer le travail des entreprises d’État.
 
Actuellement, il est important de profiter l’infrastructure du port de Moa comme un autre moyen de développer la municipalité, tout en évaluant et les possibilités d’utiliser les cascades de La Melba et Cayo Guam comme des attractions touristiques, ainsi que la récupération des bases de camping.
 
Valdés Menéndez a insisté sur la nécessité d’exploiter les terres en friche, même si les sols sont de type quatre (très mauvais pour l’agriculture) et sur le besoin d'encourager les cultures dans de cours et des parcelles puisque ce territoire ne peut pas dépendre uniquement des envois, mais il faut produire une partie de ce qui est consommé car la production alimentaire est une question de sécurité nationale.