L'enquête se poursuit après l'explosion d'un entrepôt de matériel de guerre

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Le Premier secrétaire du Comité central du Parti et président de la République, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a profondément déploré l'incendie et a exprimé sa solidarité avec les familles des 13 personnes disparues.

Treize soldats sont portés disparus après les explosions provoquées par l'incendie d'un entrepôt d'armes et de munitions dans la communauté de Melones, dans la municipalité de Rafael Freyre, dans la province d’Holguin, dans la nuit du 7 janvier.

Le Premier secrétaire du Comité central du Parti et président de la République, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a publié sur son compte X : « Nous déplorons profondément l'incendie qui s'est produit dans un entrepôt du Minfar, à Melones, dans la municipalité de Rafael Freyre, dans la province d'Holguin. Nous compatissons et accompagnons les familles des 13 personnes disparues. Nous accordons toute notre attention à ce qui s'est passé là-bas et nous menons une enquête sur les causes ».

Le ministère des Forces armées révolutionnaires a annoncé que les familles avaient été rapidement informées et que, tout au long de la journée, des mesures avaient été prises pour déterminer l'état des personnes qui ont fait face immédiatement à l’explosion.

Les militaires disparus sont : le major Leonar Palma Matos, le major Carlos Carreño del Rio, le sous-officier Orlebanis Tamé Torres, le sous-officier Yoennis Pérez Duran, et les soldats Leinier Jorge Sanchez Franco, Frank Antonio Hidalgo Almaguer, Liander José Garcia Oliva, Yunior Hernandez Rojas, Rayme Rojas Rojas, Carlos Alejandro Acosta Silva, Brian Lazaro Rojas Long, José Carlos Guerrero Garcia et Héctor Adrian Batista Zayas.

Le Parti, le gouvernement et les Forces armées révolutionnaires accordent toute l'attention possible à cet événement. Dans le cadre des mesures adoptées par le Conseil de défense de la province d’Holguin et une commission du Minfar, il est procédé à l’analyse de la situation provoquée par l'incendie, à l’évaluation des dégâts matériels et à la surveillance du site, un effort auquel participent également le ministère de l'Intérieur et l'état-major national de la Défense civile.

Un échange systématique est maintenu avec la population, dont certaines personnes ont été mises à l’abri, notamment celles qui vivent à proximité du lieu des explosions. (Source : Granma)