Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez Parrilla, a déclaré mercredi que la décision de l'administration de Joe Biden d'exclure Cuba de la liste des États qui, selon Washington, soutiennent le terrorisme « était sérieuse, importante et allait dans la bonne direction, bien que très limitée et tardive ».
Le 14 janvier 2025, le gouvernement des États-Unis a annoncé sa décision : 1) de retirer Cuba de la liste des pays qui, selon le Département d'État, soutiennent le terrorisme ; 2) d'utiliser la prérogative présidentielle pour empêcher l'action devant les tribunaux des États-Unis des procès intentés en vertu du titre III de la loi Helms-Burton ; et 3) d'éliminer la liste des entités cubaines restreintes qui désigne un groupe d'institutions avec lesquelles il est interdit aux citoyens et aux institutions des États-Unis d'effectuer des transactions financières, ce qui a eu un effet sur des pays tiers.
Lors de son intervention à l'Assemblée nationale du Pouvoir populaire, le chef du gouvernement a expliqué que ce phénomène est lié à l'existence d'un marché illégal des changes.
Le représentant permanent du Vietnam auprès de l’Organisation des Nations unies (ONU), Dang Hoàng Giang, a rendu visite le 11 janvier à New York à la Mission permanente de Cuba auprès de cette organisation à l’occasion du Nouvel An 2025 et du 66e Jour de la libération nationale de Cuba (1er janvier 1959-2025).
Cuba a enregistré le plus grand nombre de tremblements de terre sur le territoire national (12.806) en 2024, selon les données publiées par le Service National Sismologique.