Persistance de la traque des navires pour empêcher les livraisons de carburant à Cuba

Le membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste de Cuba et ministre des Relations extérieures, Bruno Rodriguez Parrilla, a qualifié, par le biais de son compte Twitter, la traque des navires, compagnies maritimes et d'assurance pour priver Cuba de carburant, d’action criminelle, toujours en vigueur, de la part du gouvernement des États-Unis.

Le membre du Bureau politique du Comité central du Parti communiste de Cuba et ministre des Relations extérieures, Bruno Rodriguez Parrilla, a qualifié, par le biais de son compte Twitter, la traque des navires, compagnies maritimes et d'assurance pour priver Cuba de carburant d’action criminelle, toujours en vigueur, de la part du gouvernement étasunien.

Il a indiqué que « pour la seule année 2019, 53 navires et 27 entreprises ont été inscrits sur des listes noires » et que, par ailleurs, cette mesure persiste avec un impact sensible pour le pays dans le contexte aggravé par la COVID-19.

Selon les données du site web du ministère cubain des Relations extérieures, les difficultés de livraison de combustible à Cuba, en raison de la traque déclenchée par le gouvernement des États-Unis, qui s’est traduite par des amendes aux entreprises, navires et compagnies maritimes qui transportent du combustible vers l'Île, ont provoqué des interruptions dans les cycles de production de plusieurs entreprises du secteur agroalimentaire, ainsi que dans l’agriculture. /Granma